Publié le 8 octobre 2013
Diane Tell en concert solo le 11 octobre
Diane Tell donnera un concert, le 11 octobre à Guémené-Penfao. A quelques jours de la sortie d’un best-of (« Passé simple », le 14 octobre). A quelques semaines de remonter sur scène à Paris pour un concert unique où elle sera entourée du quatuor à cordes Hermès (au Théâtre de la Traversière, le 30 novembre). Et à quelques mois de la sortie en France de l’album « Une » (printemps 2014), où elle revisite de ses seules voix et guitare, quelques-unes de ses « plus belles plages ».
L’artiste québécoise, associée pour l’éternité au titre « Si j’étais un homme », s’est faite plus rare de ce côté-ci de l’Atlantique ces derniers temps. Les Québécois ont eu la primeur de la sortie, en 2011, du très bel album studio « Rideaux ouverts », et de la série de concerts qui s’en est suivie. On ne leur en voudra pas. Mais la voir, en France, où elle vit depuis 30 ans, tient parfois de la gageure. Elle chante, à l’occasion, dans des festivals, qui ne sortent pas la grosse artillerie. Dans des salles de petit calibre. La plupart du temps, à « perpèt’» de là où on se trouve…
Diane Tell nous a donné « Gilberto », « Je suis en amour », « Souvent, longtemps, énormément », « On a beau », « Savoir », « Faire à nouveau connaissance », « Liaisons nombreuses », « La légende de Jimmy ». Mais aussi « De l’amour et des vagues », « La course de mon cœur », « Les solos, les singles, « Voyage au paradis», « Rue d’la flemme», « Sur ta plage,» « L’astre qui me veille… Une douzaine d’albums studio et trois comédies musicales pour cette auteure, compositrice, interprète qui poursuit une carrière en artisan. Et surtout en toute liberté : elle produit elle-même ses opus, préférant rester maîtresse de son œuvre. Quitte à ne plus apparaître en tête de gondole. Reste que ses concerts sont comme ces petits moments de bonheur dont on se dit après : on a bien fait de les attraper !
Vendredi 11 octobre, à 20 h 30, salle des fêtes, place du Nord, à Guémené-Penfao. Tarif : 15 €. Réservation au 02 40 79 30 83.
Voir l’article ici : Ouest-France