Publié le 17 mars 2012
Rideaux Ouverts – Critiques (extraits)
Platine no°186
mars / avril 2012 – France
… Très québécois dans son inspiration et sa couleur musicale, alternant dans un juste équilibre mélodies Pop Folk, morceaux Country et ballades acoustiques plus sentimentales, l’ensemble s’avère plus que séduisant pour son élégance d’écriture (parfois teintée de délicieuses tournures de la Belle Province), la simplicité et la modestie de la démarche, le soin apporté au livret et l’intemporalité des arrangements…
Sur des chansons dans la parfaite continuité de ses plus grands succès (Si j’étais un homme, Descends, Faire à nouveau connaissance, Je penses à toi comme je t’aime…), la voix de Diane Tell, toujours aussi claire et lumineuse, comme familière et amie avec ce léger souffle plein d’émotion et ce naturel qui la caractérisent, décline ici en 11 titres (plus une intro charmante) toutes les facettes de la relation amoureuse, de l’extase « L’amour vacarme » à la rupture « J’te laisse un mot » en passant par les décalages et les petits compromis « En pointillé ». Mais c’est surtout lorsqu’elle joue dans le registre de l’intime qu’elle nous touche en plein coeur, comme sur « L’astre qui me veille », « Sur ta plage », « Au décor » en duo avec Serge Fortin et surtout « Je sais bien qu’un jour » superbe piano voix qui clôture cet album et devrait enfin réconcilier ses deux publics, de chaque côté de l’Atlantique. E.C.
Idoles Mag – France
… Diane Tell revient, un peu plus de deux ans après la sortie de son étonnant (et très français) « Docteur Boris et Mister Vian », avec un nouvel album de chansons originales, très canadien pour le coup, qui nous a séduits, « Rideaux Ouverts ». Dans cet album, il est beaucoup beaucoup question d’amour. Il relate, en douze titres, la vie amoureuse d’une femme.
Si par le passé, elle nous a habitués à des sonorités plus pop, Diane Tell renoue ici avec ses racines folk, voire parfois même un peu country. Un retour aux sources ? Peut-être. Du moins sûrement dans sa conception.
Diane Tell frappe un grand coup avec ce « Rideaux Ouverts », un album où l’amour occupe la place centrale, un amour vibrant et, surtout, vivant. Mention toute particulière à « Je sais bien qu’un jour » qui referme les rideaux sur ce 14ème album de Diane Tell.
(L.D.)
Info-Culture
Le 15 mars 2012 – Canada
… Un album rafraîchissant, entraînant, nous apportant des bouquets de lumière, des instants de magie, un beau voyage et des histoires d’amour. Avec sa très belle voix douce et unique Diane Tell en plus de son public québécois, partage également son album avec son public français.
On s’éclate au son de ses nouveaux titres pop aux refrains accrocheurs. Un album ensoleillé du début à la fin. Un album anti-déprime. La photo couverture de la pochette, Diane sur le bord de la plage, et celle derrière la pochette, une vielle voiture sur les roches, nous donne le goût de l’évasion, d’un road trip. À l’intérieur du livret de 20 pages, vous y trouverez toutes les paroles des chansons ainsi que de magnifiques photos comme des cartes postales de voyage, des fleurs dessinées à travers les chansons reflétant la très grande féminité de Diane Tell, et sur la dernière page du livret, un très beau texte sur une carte postale nous étant adressé.
Sa voix n’a rien perdu de sa candeur et de la sensualité qui la caractérise. Ses interprétations sont dynamiques et enthousiastes « L’amour vacarme » nouveaux extraits de Rideaux ouverts en témoigne. Diane est toujours au sommet de son art.
De très beaux textes pour les onze titres. Beaucoup de textes d’amour écrit avec originalité. « Il me chatouille les papilles » Vraiment drôle cette chanson, où une femme ne ferait qu’une bouchée d’un homme qu’elle trouve à son goût. (Une façon de parler évidemment.) « L’astre qui me veille » Quel beau texte d’amour, que l’on voudrait tous se faire dire un jour. (Tout tourne autour de toi, t’es comme un soleil. La lumière de mes jours, l’astre qui me veille.)